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Le rôle de la prévention dans le maintien en bonne santé


S’il y a un principe sur lequel tout le monde est d’accord, c’est bien celui-ci :


« Quand la santé va, tout va ! »

La France, comme nombre d'autres nations dans le monde, est un grand pays de soin et de médecine. On soigne et on soigne même très bien. La sécurité sociale permet aux particuliers de faire face aux dépenses de soins et nous garantit un accès presque illimité et sans frais aux soins.

Mais tout n'est pas parfait et la prévention à longtemps été le parent pauvre de la médecine. Il s’avère cependant que la tendance s’inverse.

La prévention selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en 1948 :


"la prévention est l'ensemble des mesures visant à éviter ou réduire le nombre et la gravité des maladies, des accidents et des handicaps"

Le rôle des actions sanitaires et sociales est essentiel. Grâce aux financements des différentes ARS ( Agence Régionales de Santé), des projets de préventions voient le jour dans des domaines variés en fonction des populations ciblées et de leurs besoins ; nutrition, addiction, sport, diabète, santé au travail, prévention routière, accidents domestiques, stress, maladie cardiovasculaire, dépressions … Cette prévention est d’autant plus importante en entreprise quand on sait que 35 à 40 % de l’absentéisme au travail est dû à des risques psychosociaux comme le stress.


Les enjeux sont évidents pour la santé des Français, mais aussi pour leurs portefeuilles ! 1€ investi dans la prévention c’est 7€ d’économisé par la sécurité sociale en soin. Dans le milieu du travail, on peut même grimper jusqu'à 2,20 € d'économie par an pour chaque euro dépensé dans la prévention des risques.


Si la médecine ainsi que les acteurs sanitaires et sociaux ont un rôle essentiel, les disciplines dites de support ou complémentaires (réflexologie, acupuncture, sophrologie, ostéopathie ...) ont toutes leurs places également. Ces disciplines ont un tronc commun avec la médecine traditionnelle chinoise (MTC), une discipline qui met l’accent sur la prévention et l’équilibre du corps pour éviter la maladie. Selon ce précepte, en Chine, un bon médecin est un médecin qui mène ses patients le plus loin possible vers le grand âge en bonne santé.


Ces disciplines complémentaires à la médecine allopathique permettent de travailler en profondeur sur les émotions et la gestion du stress.


Il peut être bon de prendre rendez-vous avec un praticien de ces disciplines , aux changements de saisons ou quand le corps semble s’affaiblir, pour permettre de retrouver un état d’équilibre lui permettant de fonctionner le plus harmonieusement possible, état que l’on nomme homéostasie. Ainsi peut-on retrouver une digestion plus fluide, apaiser un sommeil perturbé, stimuler les défenses immunitaires…


Quand on permet au corps de fonctionner correctement, cela lui permet de se régénérer plus facilement et d’avancer dans la vie dans de meilleures conditions.


Ces techniques font partie d’un tout, il est bien évident que faire des séances de réflexologie alors que l’on a une vie dissolue ne vous sauvera pas. C’est un complément et une façon d’accéder à la prévention pour garder une bonne santé le plus longtemps possible ou une meilleure assimilation des traitements en cours quand la maladie a été diagnostiquée.

***

Pour aller plus loin sur le sujet de la dépense en matière de prévention et de santé publique :




- « L'actualité du livre. La sélection de l'Expansion Management Review », L'Expansion Management Review, 2009/2 (N° 133), p. 6-8. DOI : 10.3917/emr.133.0006. URL : https://www.cairn.info/revue-l-expansion-management-review-2009-2-page-6.htm



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